Une disparition qui a semé l'inquiétude dans la région et mobilisé les autorités. Alors que l'enquête se poursuit, de nouveaux développements ont émergé, jetant un éclairage sur cette affaire mystérieuse.
Selon les informations du Midi-libre, pour la première fois depuis le début de l'enquête, trois individus ont été placés en garde à vue ce mardi 26 mars au matin. Il s'agit d'un couple de septuagénaires et d'un homme d'une quarantaine d'années. Toutefois, leurs gardes à vue ont été levées dans la nuit, faute "d'éléments incriminants". Il est à souligner que ces suspects ne sont pas des proches de Lina, ajoutant une dimension complexe à cette investigation.
Les fouilles se sont intensifiées dans l'espoir de retrouver des indices cruciaux. Un étang a notamment été inspecté en début de semaine, ainsi qu'un puits fouillé ce mardi, bien que sans résultat probant jusqu'à présent.
Cependant, selon les informations du Parisien, les trois personnes interrogées ne sont pas des connaissances de l'adolescente disparue il y a maintenant six mois. En parallèle, plusieurs autres témoins ont été entendus sous le régime de l'audition libre. Pour l'instant, rien n'indique que le ravisseur de Lina se trouve parmi ces personnes.
Dans un communiqué partagé mardi soir, la procureure de Strasbourg a déclaré que ces gardes à vue visaient à explorer toutes les pistes possibles pour faire émerger la vérité. Cette démarche vise ainsi à éliminer des pistes, dans l'absence de toute piste privilégiée.